Hier, j'avais rendez vous chez mon psy. Une personne très gentille, ce docteur. Je le vois depuis deux mois environ, il est toujours souriant et m'aide à le rester. Je ne lui ai pas encore avoué que j'étais alcoolique. Il m'a trouvé tendue. Evidemment, deux jours sans boire ! Il est vrai que cette seconde journée était plus compliquée, je n'avais pas tellement le moral.

Nous avons encore parlé de mon père, de Chaton, puis je suis sortie avec mon ordonnance. En chemin, il y a un magasin de vêtement dans lequel je suis entrée, n'ayant pas envie de rentrer de suite à la maison. J'ai toujours peur de rentrer trop tôt car mon rituel le plus précieux à mes yeux m'est à présent interdit. Lorsque je vivais seule, j'aimais rentrer du travail, me faire un feu, promener mon chien et enfin me servir un verre devant une série. Le feu, le chien et les séries sont toujours la. Cela me stress et je ne veux absolument pas répercuter cela sur Chaton. Il ne le mérite absolument pas.

Je suis donc entrée dans ce magasin car ayant pris beaucoup de poids ces derniers mois je n'ai plus rien à me mettre. J'ai prix deux jeans soldés, un 38, un 40. J'ai essayé le 40 et le reflet de mon corps m'a poignardé : je ressemblais à ma soeur.

Ma soeur a toujours eu un peu de surpoids, surtout par rapport à ma mère, et moi, plus chétive. Lorsqu'on allait essayer des vêtements toutes les deux, je me souviens faire toujours semblant de lui dire que son jean lui allait bien, alors que ses cuisses bombées et son ventre boursouflé me regardaient en riant de mon mensonge. Aujourd'hui, elle mange sainement, fait du sport, et s'affine. Moi je gonfle.

Cette image a terminé ma journée. J'ai empoigné deux pulls-robes taille L et suis rentré chez moi, totalement démoralisée. Chaton a bien tenté de me rassurer, mais c'est terminé, il faut que j'ouvre les yeux et arrête de grossir comme cela. A la recherche d'un petit plaisir, j'ai prix un Whisky-Coca avec lui. Il me l'a servi, "petit", comme il dit, il a fait la soirée. Plusieurs fois je lui ai demandé pardon d'être aussi faible, aussi laide, et lui me regardait en disant : Je t'aime telle que tu es. Ce n'est pas un échec. La première gorgée était amère, pleine de remord, mais finalement, au bout d'une heure et demi, le verre était terminée et nous nous sommes couchés, dans les bras l'un de l'autre.

Ce matin, je suis au bureau, avec mon collègue. J'ai décidé de ne pas mangé au RIA ce midi, trop de tentation. D'ailleurs, il est 9h00 et j'ai déjà faim. Je me suis préparé ce matin un petit peu de riz blanc, sans matière grasse, et une portion de légumes vapeur que Chaton nous a acheté hier soir. Ce plat doit faire moins de 400 Kcal, enfin, je l'espère. Je vais me battre toute la journée contre la faim, je le sais. vivement que mon estomac rétrécisse de nouveau et que je retrouve mon appétit de moineau... tout est une question de motivation, et il suffit que je me regarde dans une glace, que je touche mon ventre, pour la retrouver.

Tout le monde le sait, les problèmes ne disparaissent pas comme cela. Il ne suffit pas de les camoufler avec du Scotch et un peu de mauvais Coca pour les oublier. Non.

J'ai la chance d'avoir rencontré S le 1er mai 2016. Un homme beau mais surtout très intelligent. J'ai bien essayé de me cacher, mais il a tout de suite su qui j'étais et m'a aimé comme cela. Mon addiction pour ces drogues est aujourd'hui plus forte que tout et j'ai décidé de les contrôler.

Hier, lundi 1er Janvier, je n'ai pas bu une goutte, et mangé normalement. S m'a acheté une balance afin que je puisse motiver l'arrêt de l'alcool par une perte de poids. Je dois peser au moins 65 Kgs aujourd'hui, je n'ai jamais été aussi grosse et n'ai plus aucune fringue à me mettre. Je ne supporte plus mon corps, ne supporte plus mon âme, mais cet homme me donne la force de me battre pour arrêter de le décevoir. Je ne veux pas mourir, alors il va falloir se battre.

Il est 12h40, nous venons de rentrer du R.I.A, notre cantine à nous, au SEAT. Je suis seule avec le dernier collègue qu'il me reste en ce début d'année. J'ai essayé de ne pas trop manger, afin de ne pas culpabiliser, mais j'avais trop faim, alors j'ai mangé, trop vite, beaucoup trop gras, mon ventre est encore une fois beaucoup trop tendu. J'hésite à profiter du calme qui règne pour aller me faire vomir. J'adore me faire vomir après un bon repas, cela me donne un sentiment à la fois de contrôle et une certaine satisfaction d'être rassasiée pendant un moment, sans grossir. Mais d'habitude, je le fais chez moi, seule. Je ne pense pas que j'oserai commencer cette activité au bureau, sans pouvoir me laver les dents par la suite, en risquant de me faire prendre. Pourquoi ai-je autant mangé ?

Epi, en mode shoot the moon, de retour en écriture intuitive et surtout en bonnes résolutions.

L'année 2017 a été à la fois terrible et magique pour moi : Début d'année, je posais la demission d'un CDI confortable sur les conseils de mon amoureux transis (V) afin de le suivre sur Lyon. Les préparatifs ont été compliqués... tant est si bien que quinze jours avant notre départ, il décide de me plaquer. Le choc a été terrible pour moi : plus de boulot, plus de maison (le préavis avait été déposé) mais surtout plus d'amour. Encore un abandon...

J'ai tenté de rebondir : une semaine plus tard je commençais un nouveau job chez C4, boite anglaise, en CDI, bien payé, puis je retrouvais une maison où reconstruire ma bulle. Malheureusement sept mois plus tard, nouvelle chute mentale, j'essai de me tuer, échoue lamentablement encore une fois et reste quelques jours dans le coma. après un mois d'arrêt maladie, mon patron me propose gentillement une rupture conventionnelle, je perd mon job, puis ma maison, ne me laissant le choix difficile de retourner à 29 ans chez mes parents.

Je laisse un peu de coté ma lamentable tentative de colocation, Aout / Septembre dernier, avec un taré de première, alcoolique, mythomane, chômeur, foncièrement méchant. Ils m'a détruit, un petit peu plus, ils m'ont lapidé une nuit, je suis partie. Je ne souhaite plus jamais repenser à cette période.

De retour dans ma région natale depuis Octobre 2016, j'ai vécu quelques mois chez mes parents, retrouvé un job, une maison, pris du poids, bu beaucoup trop, et enfin, trouvé l'amour de nouveau, me trainant lamentablement jusqu'à aujourd'hui.

Car c'est bel est bien le but : se trouver belle et mince.

C'est ma résolution pour l'année 2016. Etant donné que je suis alcoolique, réduire les calories va me permettre aussi de soigner mon addiction à l'alcool.

Objectif -10 Kgs. Je pense faire environ 50 Kgs actuellement, 40 Kgs serait parfait en moto ! Je pense pouvoir enfin assumer mon pantalon en cuir en 36 après ça ! Ne pas manger, ne pas manger, ne pas manger.

Parce que cela fait plusieurs mois que je mange sans compter, que mon ventre s'est retrouvé tout gonflé malgrè les séances de sport semi intensives et le blabla flatteur de mon Amour... J'ai réellement décidé de m'y remettre, je veux mincir, sincérement.

• JOUR 1

Matin: Thé, sans sucre (1 Cal)

Midi: Sandwich jambon beurre (390 cal)

Soir: 1 bol de soupe = 50 ml (15 cal) + du blanc de poulet + 200 g de brocoli (50cal)

-> TOTAL : 470 cal

Cela ne me convient pas, je souhaite réduire de moitié le nombre de mes calories.

• JOUR 2

Matin: Thé, sans sucre (1 Cal)

Midi: 200 gr de brocoli (50 cal) + 1 tranche de jambon blanc (46 cal)

Soir: 1 bol de soupe = 50 ml (15 cal) + 100 gr de cabillaud (68 cal)

-> TOTAL: 180 cal

• JOUR 3

Matin: Thé, sans sucre (1 Cal)

Midi: salade: 100 gr de concombre (16 cal) + 100 gr de tomate (18 cal) + 10 ml de vinaigrette légère (15 cal) (SANS moutarde) + 1 tranche de blanc de dinde (42 cal)

Soir: 150 gr épinard (34 cal) + 1 yahourt nature 0% MG (42 cal)

-> TOTAL: 168 cal

• JOUR 4

Matin: Thé, sans sucre (1 Cal)

Midi: 2 blanc d'oeuf cuit (30 cal) + 100 gr de compote de pomme allégée (59 cal)

Soir: 1 yahourt nature 0% MG (42 cal) + 1 galette de riz (28 cal)

-> TOTAL: 160 cal

• JOUR 5

Matin: Thé, sans sucre (1 Cal)

Midi: 1 tranche de blanc de dinde (42 cal) + 100 gr de champignon de Paris (15 cal)

Soir: 1 bol de soupe = 50 ml (15 cal) + 1 orange (42 cal)

-> TOTAL:115 cal

• JOUR 6

Matin: Café (9 cal) ou Thé (1 cal) (SANS SUCRE) + 1 galette de riz (28 cal)

Midi: 100 gr de brocoli (25 cal) + 50 gr de cabillaud (34 cal)

Soir: 1 galette de riz (28 cal) + 1 bol de soupe = 50 ml (15 cal)

-> TOTAL: 139 cal

• JOUR 7

Matin: Café (9 cal) ou Thé (1 cal) (SANS SUCRE) + 1 galette de riz (28 cal)

Midi: 100 gr de concombre (16 cal) + 100 gr de tomate (18 cal) + 10 ml de vinaigrette légère (15 cal) (SANS moutarde)

Soir: 1 galette de riz (28 cal) + 1 bol de soupe = 50 ml (15 cal)

-> TOTAL: 129 cal

J'en profite pour me mettre ici la liste non exaustive des fruits et légumes à calorie négative :

*Chaque calories indiquées correspondent à 100g*

Légumes à calories négatives :

• Ail ~149 cal (Pour moi ce n'en est pas un dû à son taux élevé de calories)
• Artichaut ~47 cal
• Asperge ~20 cal
• Aubergine ~25 cal
• Blette ~19 cal
• Betterave ~43 cal
• Brocoli ~25 cal Dépense: 80 cal
• Carotte ~41 cal
• Céleri ~16 cal
• Champignons (tous) ~15 cal (Champignons Paris)
• Choux (tous) ~23 cal
• Chou-fleur ~29,4 cal
• Concombre ~16 cal
• Courge ~16 cal
• Courgette ~17 cal
• Cresson ~11 cal
• Endive ~17 cal
• Epinard ~23 cal
• Fenouil ~31 cal
• Laitues (toutes) ~15 cal
• Navet ~28 cal
• Oignon ~40 cal
• Poireau ~61 cal
• Poivrons ~20 cal
• Piments ~28 cal
• Radis ~16 cal
• Tomate ~18 cal

Les fruits à calories négatives :
Riches en vitamine C

• Canneberge ~46 cal
• Citron ~29 cal
• Clémentine ~47 cal
• Kiwis ~61 cal
• Mandarine ~41 cal
• Orange ~47 cal
• Pamplemousse ~39 cal

Riches en fibres

• Abricot ~44 cal
• Ananas ~50 cal
• Cantaloup ~34 cal
• Goyave ~52 cal
• Mangue ~60 cal
• Melon ~36 cal
• Papaye ~45 cal
• Pastèque ~30 cal
• Pêche ~ 47 cal
• Pomme ~52 cal
• Prune ~46 cal
• Rhubarbe ~16 cal

Les baies

• Cassis ~54 cal
• Fraise ~32 cal
• Framboise ~53 cal
• Mûre ~43 cal

Depuis quelques semaines, je me fais ouvertement draguer par un interimaire au magasin des Ulis. Il est très sympa et je suis amenée à le joindre de temps en temps car il percute bien et ne rechigne pas à la tache. Chose agréable aussi, il a une voix superbe. Je suis bien contente qu'il soit loin. Je ne supporte plus batifoler.

Aujourd'hui, il m'a appelé plusieurs fois sur ma ligne directe, pretextant des sujets plus ou moins bidons, mais c'est amusant... On a parlé fringues, musique, il est en vacances demain... Ses parents habitent Angers et il veut passer les fêtes de Noël avec eux. Je ne supporte plus avoir à batifoler comme une abeille. Pourquoi je ne peux pas me contenter de mon bonheur avec V ? Il est génial, parfait dans son imperfection. Je l'aime plus que tout... Putain quoi ! Pourquoi souhaite on toujours plaire à tout le monde ?

Blague à part, il faut vraiment que je me mette dans la tête de ne jamais faire confiance en mes collègues de taf : tous des connards, san s exception. Au bureau, les gens se font tellement chier dans leur taf que le moindre détails plus ou moins croustillant sur la vie des autres va être répété, déformé, amplifié. J'ai un gout de fumier dans la bouche par rapport à tout ce que je peux entendre à mon propos, mais aussi à propos des autres. Les gens sont des chiens. Et encore, je trouve les chiens beaucoup moins fourbes.

Je suis physiquement morte. Je pense que le terme larve me convient très bien ces derniers jours.. Impossible de récupérer.

Hier soir, nous avons regardé un film super interessant : Hard Candy me semble, avec Ellen Page. Cette actrice est fabuleuse, je la trouve sublime et bourée de talent. Ce rôle d'ado lui va à merveille. Je n'ai pas pu le regarder jusqu'à la fin, mes yeux se fermaient et le moindre commentaire de V. me semblait être une agression. Je deteste ces moments la, lorsque l'on commence à s'endormir et qu'un bruit soudain nous reveille. Même la plus douce des voix parait alors agression violente.

Ce matin, pas motivée au travail. Je me sens angoissée sans aucune raison, et erreintée à la fois. Je ne me suis pas lavée, pas maquillée, je n'ai même pas eu la force de mettre un soutif -_-'. Maintenant je le regrette, je me sens ridicule et mes collègues me demandent ce que j'ai. Elles n'ont pas l'habitude de me voir sans maquillage et pensent que je suis malade.

Ma N+1 est en RTT, cela me fait doucement rire. Elle a lancé cela comme ça hier matin, trois semaine à peine après avoir annulé tous les notres jusqu'à la fin de l'année car trop de travail en retard. Elle n'a elle même pas pu tenir un seul mois. Il faut dire que ma démission à du lui mettre un genou à terre. La direction est tellement molle à réagir que le recrutement n'est toujours pas en cours. Je pense qu'ils ne souhaitent pas avoir quatre personnes à payer en même temps. Ils vont probablement attendre que je sois partie pour recruter. Je me frotte déjà les mains de plaisir à cette idée... quel joli retournement de situation. Après tous ces mois de galère entre les disputes, les commérages sur mes différents arrêts de maladie soit disant fictifs, j'entends encore cette connasse dire "Les fénéants sont les plus aidés dans cette société" après une TS et un séjour à l'HP. Elle même qui, deux années plus tôt avait été trois mois en arrêt pour burn out. Ca se passe de commentaire.

Je pensais me calmer les nerfs sur une opératrice de TNT très greluche, mais finalement non, je me suis calmée, elle ne méritait pas que je la pourrisse même si son manque de compétence était juste agaçant.

Oui, je reprends un titre ultra connu d'IAM. Mais le 11 février ne va pas arriver vite, je le sens. Ma N+1 va m'obliger un transfert de compétences qui va me saouler. J'ai tellement plus envie de donner à cette société que je ne parviens même plus à travailler en ce moment...

Mon amour m'appuie dans cette décision, d'une force ! J'ai même l'impression qu'il est fier de moi. J'ai cependant peur qu'il souhaite une personne carriériste, attachée à son job autant qu'à sa famille, car c'est ce qu'il est en ce moment, et c'est ce profil qu'il vénère. Nous sommes jeunes, on a la dalle, ok, mais passer ma vie au travail, je ne le conçois pas. L'avenir me le dira.

Hier, j'ai reçu un message d'une ancienne amie de Tremelin, et propriétaire du restaurant. La mère de Diego s'est pendue, mardi matin apparemment. C'est lui qui l'a retrouvé, chez eux, dans cette grande maison. Elle avait 52 ans. Elle était ni gentille, ni méchante avec moi, juste déprimée. Ce qui me choque le plus c'est tout l'amour que Michel porte à sa femme et à toute sa famille, son optimisme à la vie, sa gentillesse. Comment peut on en arriver à se pendre dans sa propre maison sachant que sa famille allait la découvrir ? A t-elle pensé un seul instant que l'un de ses fils pourrait la découvrir ou désirait-elle que ce soit son mari ? Je ne peux pas croire qu'un amour aussi fort qu'il semblait paraitre entre eux puisse se terminer comme ça : pendu dans la maison de famille. Elle avait un job, de l'argent, une magnifique maison, un corps pas trop abimé, un super mari attentionné et doux. Tout cela n'était qu'apparence ? Et si Michel était en réalité un pervers narcissique ?

J'ai posé mon vendredi après midi afin d'aller à l'enterrement. Diego m'a invité et remercié de mon message de compassion, je vais y aller...

Je pense que je vais boire quelques verres avant. En ce moment, j'ai envie de boire tous les jours. Et c'est malheureusement ce que je fais.

J'arrive au travail un peu à la bourre… je ne me suis pas pressée, et puis je devais en plus déposer ma voiture chez le garagiste en face car, mon karma de 2015 est toujours la, j'ai pris un clou juste à coté d'une réparation sur mon pneu avant, le rendant irréparable.

Je vois les choses différemment, je suis heureuse, toute légère. Pour la première fois en trois ans, je remarque même que j'ai deux raccourcis différents pour le même tableau Excel l'un à coté de l'autre sur mon bureau…

Ma collègue propose un café à ma N+1, elles partent. J'en profite pour téléphoner à mes collègues de Lyon afin de leur raconter. Ils sont heureux pour moi, je culpabilise de leur mentir et de tout raconter.

Peu après, ma collègue vient me voir afin qu'on puisse parler ensemble d'un transfert de compétences. Car elle a beau avoir 20 ans de boite, cela fait quand même trois ans qu'elle n'a pas vécu mon quotidien. Cela me rend hilare ! Mais comment elle croit que je vais lui apprendre à parler anglais, à expédier à l'étranger, gérer les procédures de douane, gérer l'affrètement alors qu'elle n'y connaît rien… qu'elle commence à s'acheter un cerveau, on se le faire offrir pour Noel je sais pas moi !

Finalement, je quitterais la société le 11 Février, mes CP posés pour le jour de l'an repoussant un peu mon préavis. Deux personnes d'Adecco m'ont téléphoné ce jour, l'une pour un poste à Vannes, l'autres pour un poste près de Fougères. C'est en bonne voie, j'y crois.